Les nouvelles pistes de médicaments ont un produit appelé Chloroquine

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La chloroquine (Alaren) sera-t-elle utilisée en Suisse

Avec la nouvelle pandémie mondiale qui se propage à travers le monde, les médecins se démènent pour trouver un traitement pour sauver des vies. Il existe des centaines de médicaments potentiels qui existent déjà et pourraient être utilisés dans la lutte contre le coronavirus. Cependant, les médecins ne peuvent pas simplement prescrire un médicament contre le coronavirus qui n'est pas désigné à cette fin. Il peut y avoir des effets secondaires imprévus ou des conséquences à long terme si les effets ne sont pas étroitement surveillés et étudiés. C'est pourquoi des essais cliniques sont actuellement en cours pour tester le médicament le plus prometteur contre le covid-19. L'un de ces médicaments est appelé Chloroquine (Alaren) et était auparavant utilisé pour traiter le paludisme.

Que fait Covid-19

De nouvelles images et radiographies de patients qui ont contracté le coronavirus révèlent les dommages causés aux poumons. Le coronavirus est un virus qui attaque les poumons et mange les tissus sains, déclenchant un processus cyclique qui se termine par la mort du patient. Comme le virus est le tissu sain des poumons, une inflammation et d'autres conséquences de l'attaque se sont produites, ce qui peut accélérer rapidement le virus, entraînant une situation de pire en pire pour le patient. Les poumons d'une personne ont été comparés aux nids d'abeille en raison des trous percés à travers eux par le virus. Même si vous contractez un coronavirus et que vous vous rétablissez, il est très probable que vous souffriez de dommages permanents à long terme à vos poumons.

Les patients récupérés la contractent à nouveau

Il y a également eu des cas de personnes qui ont contracté le coronavirus et l'ont battu uniquement pour le contracter une deuxième fois. En raison de la nature des dommages cumulatifs causés par le coronavirus, le contracter une deuxième fois peut être une condamnation à mort. Des scientifiques et les meilleurs professionnels de la santé du monde disent que nous pourrions même être à des années d'un vaccin. Malheureusement, il y a très peu de choses à faire en attendant d'appliquer des soins standard aux personnes qui peuvent suivre le coronavirus. Cela signifie que rien ne sera fait d'autre que de les garder confortables et hydratés avec des IV si nécessaire. Environ 88% des cas de coronavirus sont modérés et la plupart des gens se rétablissent avec seulement de légers symptômes. Cependant, environ 6% des personnes qui contractent un coronavirus auront un cas critique nécessitant un ventilateur.

Pénurie de ventilateur

Lorsque le coronavirus attaque les poumons, les poumons réagissent et tentent de combattre le virus, mais pendant ce processus, du liquide peut s'accumuler dans les poumons. À mesure que l'état du patient s'aggrave, les poumons finissent par se remplir de liquide jusqu'à ce que le patient ne puisse plus respirer. Afin de les maintenir en vie, des mesures avancées de sauvetage sont prises, qui peuvent inclure un ventilateur qui devra respirer pour le patient. Un ventilateur ressemble à un accordéon dans un cylindre qui pompe de haut en bas et continue à pénétrer dans les poumons tente de garder l'oxygène dans le sang. Sans oxygène dans la circulation sanguine du corps, une personne ne peut pas respirer, ce qui entraîne une suffocation et éventuellement la mort. Ce processus peut se dérouler sur plusieurs jours, voire plusieurs semaines, mais certaines personnes sont décédées beaucoup plus tôt.

Combien de Suisses ont effectué

Une infirmière aux États-Unis a été retrouvée décédée chez elle avec son petit enfant à côté d'elle. Elle avait travaillé dans les jours qui ont précédé sa mort et elle est décédée très soudainement. Ceci est un exemple d'un cas de coronavirus à action plus rapide et montre l'importance d'un traitement médical pour les personnes qui ont contracté le virus. Actuellement, il y a 2793 cas de Covid 19 et de Suisse. Ce ne sont que les patients qui ont été testés positifs et il est probable qu'il y ait plus de personnes atteintes du virus qui n'ont pas encore été testées. Même le processus de test du Coronavirus est nouveau et se développe de plus en plus chaque jour. Les tests sont limités dans de nombreux pays et en raison du volume de personnes, il est pratiquement impossible de tester tous ceux qui présentent des symptômes qui pourraient être associés au coronavirus.

Chloroquine

La chloroquine est sérieusement considérée comme un médicament prometteur qui pourrait être utilisé pour réduire la gravité des cas de coronavirus. Bien qu'il ne soit pas clair si la chloroquine assurera la survie d'un patient, il semble à tout le moins qu'elle sera un facteur important dans la réduction de la gravité du virus.

Par Bernard Archambault

Je suis médecin de Suisse. Je travaille à Lausanne. Ma spécialité: l'urologie

8 commentaires

  1. Il y a eu récemment une pénurie de ces médicaments, qui sont des médicaments importants pour les personnes atteintes de lupus et celles atteintes de polyarthrite rhumatoïde. L'hydroxychloroquine (Plaquenil) et la chloroquine (anciennement Aralen) sont très similaires. La chloroquine a été développée en premier, mais l'hydroxychloroquine est devenue préférée car elle a moins d'effets secondaires. je suppose que ça sert aussi de prevetion aussi

  2. la chloroquine est utilisée pour soigner le paludisme et aucune organisation médicale n'a encore confirmé qu'elle guérit le covid-19, la chloroquine ne doit pas être acceptée tant qu'elle n'a pas été confirmée sur la façon d'administrer (posologie à utiliser et période) la médicaments aux patients atteints.

  3. Je suis fortement en faveur du "droit d'essayer" des médicaments contre la maladie pour lesquels il n'existe aucun remède connu, mais il est possible qu'un médicament connu pour d'autres médicaments puisse fonctionner. Je serais tout à fait d'accord pour que de la chloroquine soit administrée à moi ou à l'un de mes proches. Je sais que les scientifiques hésitent à recommander ce médicament, car ils traitent de faits durs et éprouvés, mais tant qu'ils semblent avoir tendance à convenir qu'il y a une chance que cela puisse aider et que les effets secondaires soient vivables, je dirais: allez-y et utiliser la chloroquine.

  4. La chloroquine est un médicament qui a été utilisé dans le passé pour traiter le paludisme. L'efficacité n'est pas prouvée, mais il existe des preuves anecdotiques que le médicament pourrait être utile. Des médecins coréens ont déclaré l'utiliser avec succès lors de l'épidémie de coronavirus en Corée du Sud.

  5. La chloroquine (Alaren) pour le coronavirus semble être une option intéressante. J'espère que cela fonctionne, mais il reste à voir son efficacité et sa rapidité. Dans quelques semaines, nous devrions le savoir et j'attends avec impatience de voir les résultats.

  6. La chloroquine a une longue histoire d'utilisation en médecine, mais avec une posologie, un profil d'effets secondaires et des contre-indications connus. La chloroquine pourrait être envisagée dans un essai contrôlé avec des directives très strictes car elle est également utilisée par de nombreux autres patients pour d'autres conditions. Toutes les stratégies sont probablement nécessaires, car il y aura d'autres épidémies virales à l'avenir. Le développement de l'industrie pharmaceutique est stimulé soit par les demandes projetées du marché, soit par des médicaments connus dont le brevet a expiré, contrôlant le prix via les courbes d'offre et de demande. Cela étant dit, les gouvernements peuvent encourager le développement des entreprises via des partenariats de collaboration qui devraient être assortis de stipulations qui varient selon les pays.

  7. Je ne fais absolument pas confiance à un mot de Donald Trump sur la façon de s'auto-soigner si vous pouvez avoir un coronavirus. Si rien n'est confirmé par de vrais scientifiques de l'OMS qui savent ce qu'ils font, alors la chloroquine ne fonctionnera probablement pas.

  8. La chloroquine, un médicament antiviral utilisé auparavant pour traiter le paludisme, est prometteuse comme traitement pour la nouvelle flambée de coronavirus qui a commencé à Wuhan, en Chine, fin 2019. Elle a eu du succès sur le terrain bien que d'autres tests cliniques soient nécessaires.

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